Déphasés
Par Alice, jeudi 23 octobre 2025 à 23:51 :: 2025
— Define «longtemps».
— Euh… pas aujourd'hui.
Par Alice, jeudi 23 octobre 2025 à 23:51 :: 2025
Par Alice, jeudi 10 août 2023 à 22:24 :: 2023
Par Alice, samedi 8 juillet 2023 à 19:08 :: 2023
Par Alice, jeudi 25 novembre 2021 à 22:09 :: 2021
Par Alice, mardi 31 août 2021 à 21:28 :: 2021
Par Alice, dimanche 6 décembre 2020 à 22:11 :: 2020


Par Alice, dimanche 29 novembre 2020 à 23:11 :: 2020

Par Alice, samedi 21 novembre 2020 à 23:00 :: 2020

Par Alice, dimanche 15 novembre 2020 à 23:55 :: 2020

Par Alice, dimanche 8 novembre 2020 à 23:14 :: 2020

Par Alice, lundi 27 avril 2020 à 20:18 :: 2020

Par Alice, dimanche 29 décembre 2019 à 22:56 :: 2019
Par Alice, dimanche 29 octobre 2017 à 22:13 :: 2017
Par Alice, mardi 26 septembre 2017 à 23:24 :: Réflexions méta-bloguiennes
La « quotidienneté du quotidien » est un « phénomène hautement complexe » (GA, 209) qu'on ne peut pas se contenter d'aborder par une approche purement narrative. Ce n'est pas en racontant dans le menu détail ma vie quotidienne, heure par heure ou jour par jour, que j'arrive à cerner la structure existentiale de la quotidienneté ! La « négligence » de ce phénomène s'explique par le fait, lui aussi déjà évoqué (SZ §5, 16) que « ce qui est ontiquement le plus proche et le mieux connu est ontologiquement le plus lointain, le non-reconnu (SZ 43, trad. mod.). Heidegger illustre cette difficulté par le beau passage des Confessions de Saint Augustin, où celui-ci décrit ce qui est le plus proche, à savoir le moi, comme étant en même temps ce qu'il y a de plus difficile à comprendre.Avertissement : ce billet est à lire avec le niveau de sérieux que vous déciderez.
La médiocrité quotidienne n'est pas une simple « alénation » qui rendrait impossible toute compréhension de soi. Elle correspond à une manière particulière du Dasein d'être concerné par lui même (SZ 44). L'analytique ne peut pas se contenter d'évocations vagues de cette structure, elle doit au contraire viser le même degré de précision que la description de l'être authentique ! Il apparaîtra alors que la quotidienneté nous met en présence d'un « concept spécifique du temps » (GA 20, 209).
Jean Greisch, Ontologie et temporalité. Esquisse d'une interprétation de Sein und Zeit, p.115
Par Alice, mercredi 23 août 2017 à 06:29 :: Réflexions méta-bloguiennes
Par Alice, jeudi 4 août 2016 à 22:44 :: 2016
Par Alice, vendredi 8 janvier 2016 à 20:17 :: Réflexions méta-bloguiennes
Par Alice, jeudi 12 février 2015 à 22:53 :: 2015
Par Alice, lundi 18 août 2014 à 22:54 :: 2014

Par Alice, samedi 2 août 2014 à 23:41 :: 2014
Par Alice, dimanche 1 juin 2014 à 23:20 :: 2014
Par Alice, samedi 22 février 2014 à 12:00 :: Une enquête sentimentale
Par Alice, vendredi 19 juillet 2013 à 23:36 :: 2013
Par Alice, samedi 7 janvier 2012 à 23:06 :: 2012
Par Alice, samedi 31 décembre 2011 à 22:29 :: 2011
Vu Louise. Dans vingt ans elle aura vingt ans. Moi qui avait l'impression qu'il n'y avait aucune différence entre quarante-quatre et soixante-quatre ans, je me dis maintenant qu'il y a le temps que Louise ait vingt ans.
Merci Louise !
Et sinon vu Hairspray en comédie musicale : «A toi la moumoute, à moi le bœuf en croûte!» Très bonnes traductions, très bons chanteurs/danseurs.
Par Alice, jeudi 24 février 2011 à 19:45 :: Phrases
Par Alice, vendredi 19 mars 2010 à 21:22 :: 2010

Par Alice, vendredi 1 janvier 2010 à 23:19 :: 2010
Par Alice, mardi 20 octobre 2009 à 23:25 :: 2009
La montre de ma grand-mère date des années 30. Elle se remonte tous les soirs, à l'ancienne. Je suis bien heureuse de l'avoir récupérée (si c'est le mot), ma grand-mère s'étant persuadée que je ne voudrais pas d'une montre mécanique.
Elle n'a qu'une idée vague de mon amour des objets qui ont une histoire.
Le problème de la montre de ma grand-mère, c'est qu'elle retarde. Elle retarde beaucoup. Le matin, je l'avance d'une demi-heure, elle est à l'heure vers une heure de l'après-midi. Elle a environ vingt minutes de retard en début de soirée.
De cette façon, je n'ai jamais l'heure, ou à un quart d'heure près.
Il est prévu que je la fasse réparer, mais ça m'inquiète un peu.
Par Alice, vendredi 7 août 2009 à 10:11 :: 2009
Cela me rappelle les comptes à rebours à presque minuit le 31 décembre dans les films américains : dix, neuf, ...
Par Alice, mardi 11 novembre 2008 à 22:49 :: 2008
Tandis que je trie les papiers contenus dans l'armoire à dossiers suspendus afin d'archiver les dossiers les plus anciens que nous ne consult(er)ons jamais ("accidents du travail 2003", "naissances" (faire-parts, lettres de félicitations, quelques dessins), "nourrice 2000"), je me dis en étiquetant les boîtes qu'elles ne seront sans doute jamais rouvertes, sans doute jetées telles quelles après nous — qu'il serait sans doute aussi sage de les jeter tout de suite mais que je n'en ai pas le courage —, et que ce sera très bien ainsi.
Par Alice, samedi 23 août 2008 à 23:15 :: 2008
Par Alice, mercredi 13 août 2008 à 08:01 :: 2008
. Terriblement mal aux cuisses. Trop forcé hier. Je peux à peine descendre les escaliers. Cela m'impressionne, ça ne m'était jamais arrivé à ce point-là .
. Je continue à décrire Cerisy, même si cela m'effraie et si je me sens ridicule. Ne pas penser.
. Courses. Vérifié la présence de Play de Durex au Cora de Boussy-Saint-Antoine (je proposerais bien une enquête inter-blogs à travers la France et un repérage sur Google: cartes des grandes surfaces vendant Play.
. Sieste avortée.
. Equeuté les haricots verts puis terminé l'ourlet de la jupe jaune de A. en regardant Impitoyable. Etrange western. Réalisateur Clint Eastwood. Tout le film n'est qu'une longue parenthèse, commence par un arbre en ombre chinoise contre un soleil rougeoyant, termine de même. Tout le film est de guinguois, rien ne fonctionne comme il devrait. Mise en place de règles de morale et de justice dans un monde où les motivations et les mensonges des autres sont opaques: peut-on agir justement si l'on n'est pas omniscient? Tout tombe légèrement à côté, un peu trop fort sur certains innocents (mais pas tous), épargnant certains coupables (mais pas tous).
C'est Olivier qui m'avait envoyé ce film après que je lui eus parlé de 3h10 pour Yuma. Il faut croire que je lui avais bien expliqué l'atmosphère, les deux films appartiennent à la même famille des westerns étrangement moraux, tendant à penser que la pente du bien est plus naturel que celle du mal, et que les braves types sont plus nombreux que les sombres salauds.
. Quelques minutes d'attente, je rouvre Les Nuits attiques, parcours l'introduction. Lire, c'était presque toujours prendre des notes. (Eh oui.)
. Le soir, réunion MoDem pour préparer des élections internes. Toujours la même envie de rire et le même plaisir à arriver dans cette petite rue de pavillons de banlieue avec le soleil couchant dans les yeux: cela ressemble tant aux rues des premiers Léo Malet, j'ai l'impression d'être dans 120 rue de la gare.
Nous rentrons tard, agacés par tant de bavardages inefficaces. Visiblement, la plupart des personnes qui entrent en politique le font parce qu'elles ne savent que faire de leurs soirées.
. Pain perdu pour mon beau-père. Un peu raté, je n'ai pas le pain qu'il faut. Mais il est heureux de ce clin d'œil à l'enfance, et c'est l'essentiel.
. Encore plus mal aux jambes qu'hier. Je ne peux pas descendre un escalier de face, je dois me mettre de côté, descendre une marche à la fois.
. Le voyage de Primo Levi. Des cinéastes ont décidé de refaire en 2005 le trajet de retour de Primo Levi en 1946, d'Auschwitz à Turin, raconté dans La Trêve. Ce film est court pour un si long parcours: beaucoup de montage, de nombreux choix, une bande sonore intéressante. Le film commence sur des images de Ground Zero et énonce qu'en des temps troublés, il faut peut-être se tourner vers le passé pour comprendre le présent et prévoir l'avenir. Ce film est extrêmement monté, disais-je, partial, subjectif, mais d'autant plus humain et chaleureux. Pologne, plaques de rues, la place Ronald Reagan côtoie l'avenue Jean-Paul II, friches industrielles, extraits de L'homme de fer, interview de Wajda, une pub pour Crazyguides (je n'étais pas sûre que ce ne sois pas une plaisanterie jusqu'à il y a quelques secondes), Russie, des vaches, des kolkhozes, des routes, des forêts, des champs, des marchés et des étalages dans les rues, des statues et encore des statues, monumentales, un chanteur ukrainien mort d'avoir chanté en ukrainien, la tentation du nationalisme ukrainien, la musique des fêtes foraines ukrainiennes cinq ans plus tard — une jeunesse désœuvrée sortie tout droit de Liverpool. Chaleureuse Biélorussie dont les réalisateurs se moquent doucement, par vengeance d'avoir été suivis et encadrés par le commissaire du parti responsable de l'idéologie. La Biélorussie semble vivre heureuse et hors du temps, Primo Levi y a passé un été avec ses compagnons et a noté la bonté et la joie de cette terre et de ses habitants, soixante ans plus tard cela paraît encore vrai. En toute logique ce seront les prochains à être rattrappés par la folie occidentale, je ne leur souhaite pas. Ukraine, Tchernobyl, 50.000 personnes évacuées devant tout laisser derrière elles (et les images de l'herbe folle au milieu des grands ensembles (Tchernobyl est la catastrophe de ma jeunesse, elle m'aura marquée davantage que le 11 septembre: la chute du mur, la fin de l'appartheid, Tchernobyl, le 11 septembre, dates)); la Moldavie paraît une terre de désolation, on y regrette les kolkhozes, la terre est intégralement cultivée à la main, il n'y a pas de machine agricole. Roumanie, usine de sacs à main italiens, Hongrie, Primo Levi note qu'enfin la vieille Europe, leur Europe, apparaît devant leurs yeux, l'alphabet redevient lisible même si incompréhensible. Autriche, façade de la maison natale d'Hitler, Munich et une réunion de nationalistes allemands, Italie. Que va-t-il se passer maintenant, qu'allons-nous trouver, angoisse des revenants.
Mario Rigoni Stern: «Cette année, je ne suis pas aller skier. Vous comprenez, à quatre-vingt ans passés, si je me casse la jambe, on me traitera d'imbécile». J'ai la surprise d'entendre des lignes que je reconnais aussitôt: en cadeau d'adieu, mon libraire m'a offert un petit livre hors commerce, Pour Primo Levi, c'est ce texte que j'entends, écrit (ou simplement publié?) après le suicide de son ami.
Et tandis que je me souviens bien du film, j'en ai oublié la fin. Il boucle, il boucle sur la neige tombant sur Auschwitz, je crois.
. Les affiches du cinéma du Reflet. J'ai raté A History of Violence, Parfum de femme a l'air intéressant, je ne sais pas si j'aurai le courage d'aller voir Aguirre, la colère de Dieu. Librairie la Compagnie, je n'ouvre aucun livre, suf Le jardin des Finzi-Contini dont je relis les trois dernières pages. Je passe devant le Collège de France, le tabac est fermé, je monte vers "la cantine", passe dans rue de l'école polytechnique, renonce à acheter des cigarettes, renonce devant la carte du bistrot, retourne au Russe de la rue de l'école polytechnique.
. Bortsch, raviolis, verre de vin. Je lis Salceda.
En face de moi, deux vieilles dames ont sympathisé. L'une parle russe, l'autre moins bien. L'une habite dans les environs de Versaille, l'autre rue de Crimée. La première prend avantage sur l'autre, décrit ses voyages, son apprentissage de la langue («Du bortsch, il y en a partout, mais ils sont très différents. J'en ai mangé en Sibérie, c'était autre chose!» Elle rit.) La seconde parle cinéma, évoque Ballerina, qui passe actuellement au Reflet, la première n'admet qu'au bout de quelques minutes qu'elle ne va jamais au cinéma. Elle part. La serveuse apporte à la première ce qui ressemble à une plaquette de beurre, enveloppée dans du papier argenté. C'est de la glace ou de la crème entourée de deux gaufrettes.
Une autre table m'est cachée en grande partie. Un homme, une femme qui doit avoir soixante-dix ans puisque sa mère, en face, en a au moins quatre-vingt-dix. Je ne vois que le dos de la fille, son chignon, ses beaux cheveux d'un blond cendré. Il faudra retrouver cette couleur quand je ferai teindre mes cheveux. La mère a un très petit visage, des yeux incommodants à force d'être bleus, une auréole de cheveux très blancs. Elle est sourde mais conserve sa vivacité d'esprit. La fille parle: «Balbina était... Tu aurais aimé Balbina... Elle m'a beaucoup influencée... Sa grande maison... La Giudecca... c'est comme Prague... villes-musées...». Je pense à Hannah Arendt, à sa réflexion à propos de Rosa Luxembourg: seuls les Juifs des années trente auront été véritablement européens, de par leur multi-culturalisme et leur maîtrise de trois à quatre langues.
Une troisième table est occupée par deux hommes d'affaire. Le blond saluera la serveuse en russe en partant. C'est un restaurant qui ne paie pas de mine, avec une carte très simple, visiblement apprécié de ceux qui veulent retrouver un peu du pays.
Je songe. Peut-être faut-il adopter le point de vue de ces westerns étranges, peut-être faut-il abandonner cette idée d'entropie, de malheur, de déchéance, de désagrégation toujours en marche, et penser que la pente naturelle de l'homme est de chercher la paix, la joie et une certaine civilisation. Peut-être.
. Retour à la maison. H. a trié le placard de O., jeté (seule façon de ranger, à mon avis), remis les étagères et le bureau dans la chambre. Il lui propose le grand lit à la place du sien, O. est enchanté.
Je range un peu le dernier étage, tâche sans fin; pour une raison incompréhensible il faut toujours tout réorganiser (me voilà avec une pile de draps une place à devoir ranger. Je vais faire un échange avec les draps en lin de ma grand-mère actuellement dans un carton (j'ai tant de ces draps qu'ils ne tiennent pas tous dans mes armoires)). Et où va-t-on mettre ce matelas? Nous voilà avec deux lits superposés à donner ou à vendre.
Je monte et descends des livres, reclasse des étagères. J'ouvre des livres, je suis agréablement surprise par quelques notes jetées sur un post-it en début de Comment j'ai écrit certains de mes livres, je parcours un numéro des Cahiers du Chemin (1971), tout était déjà là , et le sommaire du numéro de Formules qui représente les actes du colloque de 2001. Que faisais-je en 2001 durant l'été? Ma grand-mère venait de mourir, j'ai commencé un régime draconien, les tours étaient encore debout, j'étais encore à Sérénis, je ne lisais pas encore Renaud Camus.
. Mes beaux-parents s'en vont. Il est 22 heures. J'écris.
Par Alice, mercredi 2 avril 2008 à 22:42 :: 2008
En remontant le temps, nos télescopes les plus puissants rencontrent donc un mur, situés environ 380 000 ans après le Big Bang. De cette «année 380 000», nous percevons cependant un rayonnement, le rayonnement fossile, […]. Ce rayonnement nous donne la plus vieille image de l'univers que nous puissions ''voir'' — façon de parler puisque nous la captons à l'aide de radiotélescopes portés à bord de satellites spatiaux tels que COBE et WMAP. […] Nos postes de télévision qui sont sensibles aux ondes radio peuvent ainsi détecter une partie de ce rayonnement fossile. Environ 1% de la «neige» que vous voyez sur votre écran de télévision quand la station cesse d'émettre est due à ces photons fossiles de l'époque primitive. Vous pouvez vous dire que vous observez le commencement de l'univers avec votre poste de télévision!Mon écran cathodique est en train de mourir. Il n'est pas tout à fait mort mais on parle déjà de le remplacer. Je n'en avais pas beaucoup envie, je n'en ai plus du tout envie.
Le Monde s'est-il créé tout seul?, entretien avec Trinh Xuan Thuan, p.30
Par Alice, mercredi 5 décembre 2007 à 12:11 :: Sur la toile
Une manifestation sans chemise que je vais regarder quand j'ai besoin de me remonter le moral. (Merci Melisme!) (Dans le reste du site, une autre idée amusante: le métro sans pantalon). Tout cela me rappelle les Flashmobs.
Par Alice, samedi 10 novembre 2007 à 21:52 :: 2007
Fais-le, mon cher Lucilius: revendique tes droits sur toi-même, et le temps qui, jusqu'à présent, t'étais enlevé, soutiré, ou qui t'échappait, ressisis-le et ménage-le. Sois convaincu qu'il s'en va comme je l'écris: il est des instants qu'on nous arrache, il en est qu'on nous escamote, il en est qui nous filent entre les doigts. La plus blâmable est la perte par négligence. Aussi, si tu veux bien y prêter attention, la plus grande partie de la vie se passe à mal faire, une large part à ne rien faire, la totalité à faire autre chose que ce qu'on devrait.
Sénèque, Lettres à Lucilius, début de la lettre I. traduction de P. Guisard, Bréal éditions.
C'est la faute à Embruns. C'est à cause de lui que j'ai perdu mon temps à jouer à splash.
Par Alice, dimanche 28 octobre 2007 à 22:12 :: 2007
Fêté les 40 ans de O.
Constaté une fois de plus que les visages et les corps sont le plus sûr signe du temps qui passe, puisque nous avons revu beaucoup d'inconnus rencontrés pour la dernière fois lors des 30 ans de O.
Il y a dix ans, nous étions les seuls à avoir des enfants et nous n'en parlions pas, parce que ce n'est pas un sujet de conversation et que nous voulions avant tout oublier les soucis quotidiens lorsque nous étions en soirée. Dix ans plus tard, tous les autres ont des enfants entre zéro et cinq ans, qu'ils amènent en soirée et qui deviennent l'unique point de polarisation. Forts de notre expérience, nous repérons d'un coup d'œil les trois ou quatre solutions qui règleraient quelques dysfonctionnements mais prudents nous nous taisons.
Nous rions avec effroi lorsque O. déclare à un blondinet de cinq ans pendu à son cou: «Quand tu auras quarante ans, c'est toi qui me porteras.»
Appris incidemment que j'écrivais probablement en LISP sans le savoir: lot of insipide and stupid parenthesis (ce qui ne fera rire que les geeks, mais comme il ne doit pas en traîner ici, ceci est une parenthèse stupide de plus (CQFD)).
Et pour Didier the Banished, une devinette: si les garçons jouent à Dongeons et dragons, à quoi jouent les filles ?

Par Alice, samedi 22 juillet 2006 à 11:42 :: 2006
Par Alice, mardi 6 juin 2006 à 06:06 :: 2006
Par Alice, jeudi 11 juillet 1996 à 16:28 :: 1996